Monsieur!
Induit par la Manière dont mon Freyschütz a po a eté porté sur la scene francoise, á me precausioner pour l'avenir; permettez moi Monsieur de me m'adresser aux Sentiment de votre justice et complaisance votre beneveillance, et de vous prier de vouloir d'orenacant ne recevoir de personne que de moi mème les Partitions des mes ouvrages.
sous peu de mois je compte étre a Paris oû alors j'aurai l'honneur de Vous entretenir de vive voix sur les details du sujet en questionLaut Tagebuch verhandelte Weber am 26. Februar 1826 mit Pixérécourt wegen Oper
; ob es dabei um die für Paris geplante Komposition einer neuen Oper ging, bleibt unklar, da diese in anderen Quellen mit dem Théâtre Royal de l’Odéon in Verbindung gebracht wurde, dessen Direktor Bernard war, während Pixérécourt die Opéra-Comique leitete. Denkbar ist auch, dass hier Verhandlungen über eine mögliche Aufführung der Euryanthe in Paris gemeint sind, die Weber in seinem Brief an Castil-Blaze vom 4. Januar 1826 erwähnt..
Pardonnez Monsieur la liberté que je me suis prise de vous importunér avec mes affaires particulieres, et recev apreéz l'assurance de la plus parfaite consideration avec laquelle jai l'honneur d'être
Monsieur
Votre tres humble
Serviteure.
ohne Unterschrift
Dresde le 15t 8b 1825.